L’automne dernier, Ellen Pompeo avait fait paniquer les fans de Grey’s Anatomy en disant qu’elle était impatiente de dire adieu à Meredith la saison prochaine, à l’expiration de son contrat actuel. Qu’en est-il actuellement ?

"Je n'arrête pas de dire : ‘Je suis prête à passer à autre chose et je veux arrêter la série avant que les audiences baissent’, mais les audiences ne baissent jamais !", s'est-elle exclamée en riant lors d’une récente interview. "Elles baissent un peu, mais le fait que nous puissions garder notre titre de série n°1 d’ABC est plutôt incroyable. C’est très cool d’avoir ce genre de chiffres d’audience et de participer à une série qui marche fort sur une chaine du réseau national malgré la surabondance de séries télévisées."

Pompeo – qui approche du milieu de son contrat de 20 millions de dollars sur deux ans – a déclaré qu’elle savait qu’elle a une bonne place dans Grey’s. "C’est un endroit où il fait bon travailler", admet-elle. "J'aime ma situation ici. Autant que l'idée de quelque chose de nouveau m'attire… La vérité, c’est que j'ai trois enfants. Je ne veux vraiment pas voyager et les quitter. Je ne veux pas être un forain et vivre dans des hôtels. Et la chaine et le studio continuent de m’encourager et me font tout simplement des offres que je ne peux pas refuser."

L’actrice sait également que si elle décidait de ne pas continuer la série en 2020, cela entraînerait probablement la fin de Grey’s. (Après tout, le nom de son personnage figure dans le titre de la série.) "Je mentirais si je disais que je ne pense pas au nombre de personnes qui ont un emploi stable avec Grey’s", souligne-t-elle. "Dans cette ville, il n’y a pas beaucoup de séries qui font 24 épisodes par saison. Donc, le fait que cette équipe puisse filmer 24 épisodes - c’est 10 mois de travail - et que les gens puissent rester à L.A., c’est extraordinaire."

Traduction : Pompeo reste indécise quant à son avenir dans Grey’s. "Je suis sous contrat pour la saison 16", déclare-t-elle. "Et au-delà de ça… je ne sais vraiment pas. Je vis les choses au jour le jour." source