• Ellen Pompeo

    Dans une nouvelle interview, Ellen Pompeo a confié sa nostalgie par rapport au début de Grey’s Anatomy. Elle a évoqué aussi la façon dont ses scènes d’amour avec Patrick Dempsey ont affecté son mari.

    Après être sortie d'une négociation salariale très médiatisée comme une des actrices les mieux payées de la télévision, on peut dire qu'Ellen Pompeo connaît sa valeur - et elle n'a pas non plus peur de jouer les gros bras quand la situation l'exige. "J'ai beaucoup de privilèges, ce qui m'a permis de dire ce que je pense et ce que je ressens parce que j'ai un certain niveau de pouvoir", a-t-elle dit-ans un podcast d'InStyle. "Je suis protégée pour faire ça, ça n’a pas toujours été le cas."

    Elle a expliqué que la confiance en soi est quelque chose qui est venu avec l'âge. "Je pense qu'il y a quelque chose qui vous frappe quand vous avez 50 ans où vous n'en avez littéralement rien à foutre", dit-elle. "A 50 ans, vous ne faites rien que vous n'ayez pas envie de faire".

    L'actrice plaisante sur le fait qu’on commence à apprécier ce qu’on a une fois que cela commence à disparaitre. "Vous passez toute votre vingtaine à vous critiquer, à vous comparer aux autres femmes, à penser que vous n'êtes pas assez bien", dit-elle. "Et puis à la trentaine, vous êtes encore un peu en train de faire ça et de réfléchir. À la quarantaine, je pense que vous commencez vraiment à vous sentir vous-même, et juste au moment où vous commencez à vous sentir vous-même : la cinquantaine. On se dit : ‘Oh, mon Dieu. Ne me quitte pas. La jeunesse, la peau, reviens !’" plaisante-t-elle avant d'ajouter : "La vie est vraiment très cruelle, en fait. Quand on y pense, la jeunesse est gâchée pour les jeunes."

    Bien sûr, une partie de cette confiance vient probablement de l’éclairage et de l'expérience que Pompeo a acquis en jouant dans une des séries télévisées les plus populaires, Grey's Anatomy, au cours des 17 dernières années. "Je peux maintenant voir les gens dans un environnement professionnel et voir vraiment comment ils se comportent", dit-elle. "Je sais comment les plateaux de tournage fonctionnent, et je sais quand quelqu'un est épuisé. Je sais quand quelqu'un a peur de s'exprimer, et je sais quand quelqu'un s'ennuie et ne participe pas. Je sais quand un réalisateur fait du surplace. Je peux voir le comportement des gens assez clairement."

    Alors mieux vaut ne pas essayer de faire semblant avec Pompeo, parce qu'elle le saura. Elle-même ne se la raconte pas. Dans un article révélateur du Hollywood Reporter, l'actrice s'est ouverte sur la façon dont elle est devenue la femme la mieux payée de la télévision. "Vous pouvez penser que vous valez quelque chose, mais vous devez également être en mesure de l'étayer par des chiffres réels, durs, et montrer que vous êtes capable de générer de l'argent", redit-elle. "Personne n'en a vraiment rien à faire de ce que vous pensez valoir. Ces gens dans les affaires commerciales font tourner ces chiffres et décident de ce que les gens seront payés. Vous devez parler un langage différent."

    Bien sûr, les choses sur le plateau de Grey's n'ont pas toujours été parfaites. Il lui a fallu plus de dix ans pour obtenir enfin ce qu'elle méritait. Et elle raconte que si elle et ses partenaires avaient quelque chose de très spécial, il y avait aussi beaucoup de compétition, ce qui a conduit à des disputes occasionnelles sur le plateau.

    Mais dans l'ensemble, elle se souvient des premiers jours sur le plateau et de ses anciens partenaires comme Sandra Oh, Katherine Heigl, et bien sûr, son mari McDreamy, joué par Patrick Dempsey."Au début, nous avions tous vraiment quelque chose", dit-elle, "On s'amusait beaucoup à l'époque".

    L'alchimie palpable entre les premiers acteurs a toujours rendu la série beaucoup plus crédible, et a créé une véritable réaction émotionnelle de la part du public. Il y avait tellement d’alchimie entre Pompeo et Dempsey (qui est revenu pour une séquence de rêve épique de mariage sur la plage dans la dernière saison) qu le mai de l’actrice, Chris Ivery, était jaloux pendant les scènes d’amour. "Le pauvre homme n'avait aucune idée de ce qui l'attendait", dit-elle. "Je me souviens qu'au début, c'était vraiment difficile pour lui. Il me disait, Je n’ai pas signé pour ça. Tu vas au boulot et tu roules des pelles à 'ça'. J'aime bien Patrick et tout, c'est un bon gars, mais vraiment ?". source


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