• Episode 8.07 : Put Me In, Coach

    Titre français : Marquer des points

    Scénariste : Jeannine Renshaw

    Réalisateur : Debbie Allen

    Diffusion Etats-Unis : 27 octobre 2011 sur ABC

    Diffusion France : 15 mai 2013 sur TF1

     

    Voix off : Les chirurgiens ne peuvent pas être paresseux. Les risques sont trop grands. À la seconde où nous cessons de nous pousser, quelque chose de terrible se produit, quelque chose que nous ne voyons jamais venir.

     

    Meredith et Cristina sont allongées sur l’herbe. Elles papotent en regardant les nuages. Meredith trouve qu’il y en a un qui ressemble aux cellules que l’on injecte aux patients de l’essai clinique de Bailey. Cristina n’y voit rien d’autre qu’un nuage. Meredith insiste. On dirait une cellule ou un buffle. Cristina reconnait n’avoir plus aucune imagination. Teddy lui a pris toute celle qu’elle avait. Meredith estime qu’elles ne doivent pas se laisser aller mais au contraire toujours continuer à croire que les choses iront bien. Il faut garder la foi. Cristina soupire. Teddy lui a dit qu’elle avait quelque chose de génial à lui faire faire. Elle demande ensuite à son amie sur quoi elle travaille pour le moment. Elle est dégoutée d’apprendre que Meredith est toujours en obstétrique. Il serait temps qu’elle se débarrasse de ses blouses roses. Meredith sourit. Pourquoi ferait-elle ça ? De toute façon, Bailey s’est arrangée pour l’évincer de toutes les interventions. Et puis, l’obstétrique, ce n’est pas si mal que ça. C’est assez tranquille et ça lui permet de travailler sur l’essai clinique de Bailey. Cristina lui rappelle que cette dernière lui a ordonné de rester éloignée de ses recherches. Meredith en est consciente mais elle ne peut pas s’en empêcher. Elle sent qu’elle est près de trouver la solution. Une balle qui atterrit sur Cristina fait se relever les deux femmes qui protestent. Le lanceur qui n’est autre qu’Alex les rejoint. Cristina se tourne vers Meredith. Elle pense que son amie cherche surtout quelque chose pour éviter de penser à Zola. Alex demande à Meredith si elle a eu des nouvelles. Non. Ils ont tellement dérangé Janet qu’elle en a plus qu’assez d’eux et, en plus, elle n’a pas l’air vraiment au courant de quoi que ce soit. Alors ils n’ont pas d’autre choix que d’attendre que le tribunal leur donne une date d’audience. Elle et Derek… Elle s’arrête et c’est Cristina qui termine sa phrase. Ils gardent la foi. Meredith le répète comme pour s’en convaincre.

    Rappelé à l’ordre, Alex relance la balle sur le terrain, en direction de Mark. Celui-ci la rattrape et la lance en direction d’Arizona. Celle-ci, apeurée, pousse de grands cris et rate la balle, au grand dam de Derek qui ne comprend pas qu’elle puisse avoir peur. Une jeune femme, qui se trouve sur le bord du terrain, félicite Mark pour son lancer. Il la rejoint avec un grand sourire et l’embrasse. Derek lui demande de se concentrer un peu plus sur le jeu. Teddy est intriguée par la jeune femme. Qui est-ce ? Arizona lui apprend qu’il s’agit de Julia – Canner ou Kinney, elle n’est pas certaine de son nom de famille - une ophtalmologue qui travaille au Seattle Presbyterian. Mark sort avec elle. Toutes les nuits de cette semaine, précise Callie, au grand dam de Lexie qui a tout entendu. Arizona relance la balle à Derek. Richard, qui lit un livre sur les gradins, la félicite pour son lancer. Voila comment elle doit faire ! Callie, qui l’appelle maintenant par son nom de famille, lui demande quand est-ce qu’il va faire la démonstration de ses talents. Il préfère terminer le chapitre de son livre et garder son énergie pour le vrai match. De par son expérience, il sait que ce sera nécessaire. Lexie entre sur le terrain avec la batte. Teddy demande à Owen de la faire lancer, elle aussi. Elle est vraiment bonne au lancer. Il n’a pas l’air intéressé. Il préfère se fier à Derek qui va lancer une balle incroyable et imbattable. Aussitôt dit, aussitôt fait. Derek lance la balle à Lexie qui la renvoie avec sa batte avant de commencer à faire le tour du terrain en courant, sous les encouragements d’Owen qui aimerait que son équipe montre un peu plus de mordant. Il invite Cristina et Meredith à au moins se mettre debout. Meredith rit tandis que Cristina fait un petit signe de la main à son mari.

    L’équipe adverse arrive sur le terrain. Le coach Brad McDougall s’adresse aussitôt à Owen. Il est étonné que l’équipe du Seattle Grace occupe le terrain sur lequel son équipe à l’habitude de s’entrainer tous les matins. Après avoir regardé quelques secondes les médecins du Seattle Grace, il demande à Owen s’il s’agit de leur premier entrainement, parce que c’est ce qu’il lui semble. Condescendant, il félicite son adversaire d’avoir réussi à monter une équipe cette année, surtout avec tout le remue-ménage que le Seattle Grace a connu : Richard dégradé, et toutes ces sales affaires, comme l’essai clinique Alzheimer qui a été annulé… Inutile de se demander pourquoi ils ont demandé au spécialiste des traumas d’entrainer l’équipe ! Il suppose qu’Owen doit avoir l’impression de devoir se démener pour stopper l’hémorragie. Enervé que ce gars se permette de lui donner des leçons tout en se moquant de lui, Owen lui demande de lui laisser le terrain pendant encore une demi-heure et alors, ils seront en mesure de leur botter les fesses le lendemain. Brad enfonce le clou. Une demi-heure, pas plus ? Owen croit vraiment que ça suffira ? Derek reçoit un message sur son bipeur. Il prévient directement Owen qu’il doit partir, en compagnie de Lexie. Ils sont attendus pour une consultation à l’hôpital. Tous les médecins décident de le suivre, malgré les supplications d’Owen que personne n’écoute. Brad regarde son collègue d’un air ironique. Il semblerait bien que la demi-heure soit devenue inutile. Il met un sifflet en bouche. Les joueurs du Seattle Presbyterian se précipitent sur le terrain avec enthousiasme.

    Cristina interroge Teddy pour savoir quelle est cette intervention si géniale qu’elle lui a promis. Est-ce qu’il s’agit d’une transplantation ? Teddy répond que non. Cristina veut savoir si au moins, cette intervention sera importante. Teddy assure que cela va l’occuper toute la matinée. Elle la fait entrer dans la salle d’opération où se trouve déjà un patient fortement obèse, Mr Felker. Cristina déchante lorsqu’elle apprend qu’il doit subir une simple angioplastie. Elle se retourne pour faire part discrètement de sa déception à Teddy. C’est encore une procédure que n’importe quel interne de première année serait capable de faire. Elle pensait qu’elle allait s’occuper d’un cœur. Teddy réplique que c’est ce qu’elle va faire. Sans cette angioplastie, le patient pourrait faire un infarctus. Cristina précise qu’elle voudrait s’occuper d’un cœur dans une salle d’opération. Le patient les apostrophe. Est-ce que quelqu’un va déboucher ses veines ? Teddy fait un grand sourire à Cristina avant de quitter la salle.

    April remet un dossier à Owen. Elle a fait des recherches sur le softball et a consigné tout ce qu’elle a trouvé sur le sujet. Il trouve qu’elle fait une bonne assistante administrative. Comme elle le remercie, il lui dit que ce n’est pas un compliment. Il a l’impression qu’elle a régressé depuis qu’elle est devenue la chef des résidents et il aimerait la voir en touche plus souvent. Ils entrent dans une salle d’examen où se trouve un patient amené en urgence, Carl. C’est un éboueur qui a été heurté par une voiture, après être tombé du camion poubelle. Callie est déjà en train d’examiner le dossier complété par les ambulanciers, lequel renseigne de multiples contusions et de graves blessures à une main. Tandis qu’Owen procède à un premier examen neurologique, Callie enlève le pansement qui recouvre la main. En découvrant cette dernière, elle comprend immédiatement la gravité de la situation. Il est à craindre que le patient n’en perde l’usage, du moins partiellement. Carl, qui l’a entendue, se met à crier. Owen lui demande de se calmer avant d’inviter Callie à sortir de la salle. Soigner la main n’est pas une priorité pour le moment. Vexée, la chirurgienne retire ses gants. Owen n’aura qu’à la biper quand il aura besoin d’elle. Elle quitte la salle.

    Arizona demande à Alex de signer une injonction du tribunal les obligeant à remettre le dossier médical de Zola au Seattle Presbyterian, où la fillette doit être transférée à la demande des services sociaux qui estiment qu’il y a un conflit d’intérêt du fait que les candidats à l’adoption soient médecins au Seattle Grace. Alex enrage. Génial ! Après avoir éloigné Zola de ses parents, on va l’éloigner de ses médecins. Il prend les papiers et s’éloigne. Arizona lui crie qu’il doit signer les documents. Il répond qu’elle ne doit pas s’en faire. Il va s’en occuper.

    Derek et Lexie sortent de l’ascenseur. Derek explique à son assistante que leur patiente, Clarissa, vient d’arriver de San Francisco. Elle souffre d’un hamartome hypothalamique. Que sait-elle de plus sur ce cas ? Lexie lui apprend que la tumeur qui n’est pas cancéreuse grandit lentement dans l’hypothalamus. Ils arrivent dans la chambre où la patiente est en train de convulser. Derek propose aussitôt son aide mais la mère de Clarissa la refuse. Elle doit juste maintenir sa fille jusqu’à ce que la crise se termine. Elle explique ensuite à Derek qu’il s’agit de la quatrième crise de la journée. L’état de santé de Clarissa empire. Alors elle espère entendre de la bouche du chirurgien qu’il va pouvoir l’aider. Il avoue que c’est délicat. La tumeur est plus importante d’un côté que de l’autre. Le protocole recommande une approche sous-frontale mais cela ne permettra pas à Derek de retirer la tumeur en entier. La mère le rassure. Le spécialiste de San Francisco a précisé que même si l’on ne retirait qu’un petit morceau de la tumeur, les symptômes ne seraient plus aussi mauvais. Pour le moment, intervient Lexie qui ajoute que la situation redeviendra la même une fois que la tumeur aura à nouveau grandi. La mère en est consciente mais elle est prête à tout pour soulager sa fille de toutes les manières possibles. Elle est également consciente des risques encourus mais elle a fait des recherches qui lui ont appris que Derek avait réussi 87% des interventions réalisées l’année précédente. Alors elle veut que sa fille subisse cette intervention et que ce soit lui qui la fasse. Derek lui annonce qu’il a envie de tenter autre chose que l’approche classique. En se servant des clichés du cerveau, il explique qu’il envisage de pénétrer dans le cerveau par le dessus, ce qui lui permettrait une meilleure visualisation et donc, il le croit, de retirer l’intégralité de la tumeur. La mère est sceptique. Aucun des huit médecins qu’elle a consultés ne lui a parlé de cette option. C’est normal, admet Derek, parce que cela n’a encore jamais réalisé. La mère de Clarissa veut connaitre les risques d’une telle intervention. D’un regard, Derek invite Lexie à les énumérer. La jeune femme explique donc que le fait de passer entre les deux hémisphères risque de blesser sérieusement le cerveau, et donc entrainer la perte de la mémoire récente, une attaque et même la mort. La mère refuse. Elle ne peut pas faire ça. Derek la comprend. Puisqu’elle tient à l’approche classique, qui est une procédure tout à fait standard, il l’invite à s’adresser à un autre chirurgien et demande à consulter la liste des médecins qu’elle a déjà vus. La dame est un peu étonnée. Elle préférerait que ce soit lui qui s’en occupe. Derek ne répond pas directement. Il lui recommande le Dr Samuelson qui est un médecin fantastique. Après avoir souhaité bonne chance à la mère, il sort de la chambre, sous le regard interloqué de Lexie. 

    Owen demande à Derek pourquoi une mère furieuse est venue se plaindre du fait qu’il avait refusé de sauver la vie d’une adolescente. Derek réplique qu’il a proposé à cette dame une méthode dont il pense qu’elle lui permettrait de retirer l’intégralité de la tumeur, mais qu’elle n’a pas voulu prendre le risque, ce qui est son droit, puisqu’ils vivent dans un pays libre. Comme Owen lui suggère de pratiquer l’intervention de façon classique, il lui fait remarquer qu’il y a à San Francisco plein de médecins aussi qualifiés que lui qui pourront le faire. Owen lui rappelle que Clarissa et sa mère ont pris un avion pour le voir, parce qu’elles le veulent, lui. Derek persévère. S’il fait ce que la mère lui demande, la tumeur qu’il aura laissée continuera de grandir. Peut-être pas, estime Owen. Derek ironise. Peut-être devraient-ils attendre de voir ce qui se passe et espérer que ça aille mieux. Eh bien, non ! Pas question ! Pendant tout un moment, il a eu un bébé qui a dormi dans sa chambre à coucher mais les services sociaux ont décidé de lui retirer cet enfant. Et depuis, ils lui disent de patienter, de voir ce qui va arriver et d’espérer que ça va bien se passer. Owen comprend que ça soit frustrant mais… Derek l’interrompt. Il n’en peut plus des demi mesures. Il ne le supportera pas dans sa salle d’opération, pas aujourd’hui. Il ne peut pas. Owen est persuadé du contraire. Il sait que la meilleure chance de cette patiente se trouve entre les mains de Derek. La mère de Clarissa pense la même chose. Ils ne sont pas le genre d’hommes qui renvoient les patients chez eux. Derek lui donne raison. Avant de rentrer dans l’ascenseur, il demande à Owen de retenir Clarissa. Owen suppose donc qu’il va faire ce que la mère a demandé. Non, il va lui prouver que sa méthode est la bonne.

    Dans une salle d’examen, Teddy cherche à comprendre ce que Bailey vient de lui dire, à savoir que le dispositif qu’on a implanté dans le corps d’Henry est défectueux. Bailey réplique qu’elle a dit qu’Henry avait reçu un des premiers implants et qu’il y avait quelques problèmes dans le fonctionnement. Comme à son habitude, Henry se montre plein de dérision. Donc cet implant va devenir une pièce de collection. Quand il va mourir, Teddy devra le mettre en vente sur EBay. Bailey estime que le seul problème qu’il a pour le moment, est de procéder quotidiennement à des analyses. Parce qu’il pourrait redevenir diabétique, ajoute Teddy avec amertume, tout ça parce que le traitement qu’on lui a donné est un énorme échec ! Bailey répète qu’il y a seulement quelques problèmes. Henry tente de rassurer sa femme en lui rappelant que sa collègue fait tout son possible pour y remédier. C’est pour cela qu’on appelle ça un essai clinique. Bailey insiste sur le fait qu’ils ont déjà compris quel était le problème et que maintenant ils mettent tout en œuvre pour le résoudre. Henry ajoute qu’il était conscient des risques quand il a accepté de faire partie de l’essai. De plus, tous les examens qu’il va devoir faire lui permettront de voir sa femme plus souvent. Avant de sortir, il rassure Bailey. Qu’elle ne s’en fasse pas ! Il est certain qu’elle va trouver la solution.

    Dans la salle d’opération, Cristina explique à son patient qu’elle va introduire le cathéter via l’aine et qu’elle va le faire remonter jusqu’au cœur. Il la met en garde. Elle risque de voir beaucoup d’hamburgers et de frites sur son chemin. Il travaille dans un fast-food. Il demande ensuite à la jeune femme si c’est ce qu’elle fait tous les jours, passer des fils dans des veines bouchées. Des artères, rectifie Cristina, déjà excédée. Comme l’homme commence à lui raconter sa vie – il est le directeur du fast-food et tout ce qu’il doit savoir c’est comment fonctionne la friteuse, manier le grill et faire les milk-shakes, et quand tout le monde est occupé, il passe même le balai - elle suggère à l’anesthésiste d’augmenter les calmants. L’homme fait encore une plaisanterie douteuse dont il est le seul à rire, mais la piqure qu’il reçoit le calme instantanément.

    Teddy et Henry croisent Owen. Selon Henry, le chirurgien semble avoir reçu de plus mauvaises nouvelles encore que lui. Owen leur confie que Lexie, qui devait être sa lanceuse durant le match de softball, vient d’être réquisitionnée pour une intervention de neuro. Teddy lui rappelle qu’elle peut très bien remplacer Lexie. Elle sait lancer. Elle prend son mari à témoin. Lui qui a été un joueur professionnel peut le confirmer. Henry se montre honnête. Il ne l’a jamais vu jouer. L’information selon laquelle il a été pro intéresse Owen au plus haut point. Henry précise que c’est du passé. Maintenant il est pro dans la préparation des commandes. Cela ne décourage pas Owen qui lui demande s’il est libre le lendemain. Ne laissant pas à l’intéressé le temps de répondre, il lui annonce qu’il est engagé à partir de maintenant comme assistant administratif et qu’il sera congédié directement après le match. Henry plaisante sur le fait qu’il préférerait prétendre être un chirurgien vasculaire ou quelque chose de ce genre. Owen répond qu’il peut être tout ce qu’il veut du moment qu’il les aide à battre le Seattle Presbyterian. Offusquée, Teddy rappelle aux deux hommes qu’elle aussi peut les aider. Elle peut lancer la balle, elle leur a déjà dit.

    Arizona informe Meredith que la mère d’un de ses patients se plaint de douleurs à la poitrine. Meredith répond qu’elle a déjà prévenu Teddy. L’air de rien, Arizona lui demande si elle a parlé à Alex. A quel propos, se renseigne Meredith. Arizona lui apprend que le tribunal a demandé à recevoir le dossier médical de Zola. Cela ne veut probablement rien dire mais elle estime que Meredith a le droit d’être au courant. Meredith l’en remercie. Le regard d’Arizona tombe sur l’écran du PC et elle s’aperçoit que le sujet du document que Meredith consulte est l’essai clinique de Bailey. Meredith prétend travailler sur l’essai, ce qui étonne Arizona. Elle était persuadée que Bailey en voulait toujours à Meredith. Celle-ci prétend que non, leurs relations sont bonnes. 

    Alex fait la file devant les guichets d’une administration. Arrivé devant une employée, il demande à avoir quelques renseignements sur la demande d’adoption qui a été introduite pour une enfant qui s’appelle Zola. L’employée lui coupe la parole. Toute demande de ce genre doit être introduite par écrit auprès des services familiaux. Alex lui explique qu’il est le médecin de l’enfant. Il a reçu une injonction l’obligeant à remettre le dossier médical de l’enfant. La jeune femme l’interrompt pour lui dire que ce n’est pas à elle qu’il doit remettre les documents. Ce n’est pas ce qu’il comptait faire, réplique Alex qui répète qu’il veut simplement parler à quelqu’un de cette adoption. L’employée lui apprend qu’il faut un délai de six à huit semaines pour obtenir un entretien après avoir introduit la demande. Comprenant qu’elle ne lui sera d’aucune aide, Alex renonce, non sans demander à quelle adresse il doit introduire sa demande. Elle lui apprend que les services concernés se trouvent dans le même immeuble, au cinquième étage.

    April vient informer Callie que, puisque Carl ne souffre d’aucune hémorragie interne, Owen lui passe le relais. Callie se montre moqueuse en demandant à la jeune femme de remercier le chef de lui avoir donné son feu vert. April promet de le faire avant de réaliser que la chirurgienne était sarcastique. Elle lui demande ensuite si elle peut l’assister sur ce cas. Elle a besoin de passer plus d’heures au bloc. Callie accepte et lui demande de réserver une salle d’opération, et aussi de lui souhaiter bonne chance parce que maintenant, elle va devoir aller annoncer à Carl que sa journée est encore pire que ce qu’il croyait.

    Effectivement on la retrouve au chevet de Carl à qui elle assure que, que compte tenu des circonstances, il ne s’en sort pas si mal. Il n’est pas dupe. Il sait que cela signifie qu’elle a de mauvaises nouvelles pour lui. Elle lui montre la radio de sa main, en lui expliquant que certains os ont été complètement pulvérisés. Les nerfs également ont été endommagés. Elle en saura plus une fois qu’elle sera en salle d’opération mais il est probable qu’il ne récupérera pas l’usage de deux doigts. Carl est atterré. D’un geste brusque, il saisit un sac qui se trouve près de son lit et en sort une sorte de scalpel. Croyant qu’il veut attenter à ses jours, Callie commence à crier. Comprenant le malentendu, Carl la rassure. Ce n’est pas une arme, mais un couteau de sculpture, car il fait de la sculpture sur bois. Il a toujours cet outil sur lui car il a beaucoup de moments libres durant son travail. Callie s’excuse pour sa réaction mais la façon dont il a sorti son outil lui a donné de fausses idées. Il répond qu’il voulait juste prendre son téléphone pour appeler sa femme. Il commence à vider son sac et étale sur le lit des représentations de certaines de ses œuvres. Callie se montre admirative. C’est magnifique ! Est-ce qu’il les vend ? Non, répond Carl. Ramasser les poubelles paie les factures. La sculpture est juste un moyen de ne pas devenir fou. Ou du moins, ça l’était. Il prend son téléphone et invite Callie à sortir de la chambre. Quand il aura prévenu sa femme, elle va être plutôt énervée. Callie sourit. Il devrait dire à sa femme que sa chirurgienne est aussi une artiste.

    Derek s’entraine sur un mannequin pour répéter les gestes qu’il devra faire pour opérer la tumeur cérébrale de sa patiente. Une lumière indique les erreurs qu’il fait. Lexie suit son évolution sur un écran et le guide. Une lumière s’allume et Derek comprend qu’il vient juste de paralyser le côté gauche du cerveau, ce qui implique que la patiente est complètement paralysée, puisqu’il a déjà touché le côté droit un peu plus tôt. Il retire son instrument du cerveau fictif et le réintroduit d’une autre façon. La lampe s’allume encore, indiquant cette fois, qu’il a touché le fornix qui se trouve au centre du cerveau. Lexie fait une grimace. Maintenant la patiente est muette, paralysée, en état de mort cérébrale, dit Derek, découragé. Owen vient aux nouvelles. Derek reconnait qu’il n’arrive pas à trouver la bonne approche. Il demande à Lexie d’éteindre le moniteur avant de se tourner vers Owen. Il suppose qu’il doit une intervention à la mère de Clarissa. Owen ne veut pas qu’il baisse les bras. Il doit encore essayer. Derek lui demande s’il veut jouer avec ses nerfs. Owen répond qu’il est seulement en train de perfectionner son talent d’entraineur avant d’ajouter sur un ton plus sérieux que Derek doit s’y remettre. Après quelques secondes d’hésitation, celui-ci demande à Lexie de rallumer le moniteur. Derek enfonce sa sonde. La lumière s’allume. Lexie fait une grimace.

    Meredith entre dans la salle où Cristina est toujours en train de pratiquer l’angioplastie, un véritable marathon selon elle. Ce qui était sensé être génial n’est en fait qu’un travail de plomberie ! Mais Meredith n’est pas là pour parler de chirurgie. Elle répète à son amie ce qu’Arizona lui a dit au sujet de Zola. Cristina pense que ça peut être un bon signe. Ça prouve que les choses bougent. Guère convaincue, Meredith prend son portable pour envoyer un mail à Janet. Peut-être qu’elle saura ce qu’il en est vraiment. Cristina lui rappelle qu’elle doit garder confiance. Meredith n’en est pas certaine. A-t-elle précisé qu’elle n’avait pas réussi à casser un ilot de cellules ? Elle passe ses journées à essayer de trouver une solution au problème et elle n’y arrive pas. Cristina attire son attention sur l’écran du moniteur. Elle a réussi à déboucher une artère. Avant, elle était chirurgienne, se désole-t-elle. Meredith sourit avant de lire le message qu’elle vient de recevoir sur son portable. Ah Cristina avait raison de lui dire de garder confiance, persifle-t-elle. Janet est en congé pour une semaine. Meredith est dégoutée. Elle avait imaginé que Janet serait au téléphone en train de se battre pour lui rendre son enfant. Elle ne l’avait pas imaginée en train de se prélasser sur une plage, quelque part. Cristina comprend son désarroi mais Meredith n’en a rien à faire. Tout ce qu’elle voit c’est qu’à l’heure qu’il est, Zola a déjà probablement oublié qui étaient ses parents. 

    Alex arrive au cinquième étage, dans le service des familles. Il s’adresse à une employée qui ne prend même pas la peine de le regarder lorsqu’il lui demande où il peut s’adresser pour avoir des informations sur une demande d’adoption. Elle lui répond sèchement qu’elle est certaine qu’il sera un merveilleux père mais jusqu’à ce que le juge déclare que le cas est clôturé… Alex lui couple la parole. Il n’est pas le père, mais le docteur. Il s’agit d’un enfant malade et… L’employée lève la main pour le faire taire. Elle a déjà entendu toutes les histoires tristes qui existent. Cela ne change rien au fait qu’elle n’est pas autorisée à donner des informations sur les cas toujours en cours. Alex n’insiste pas. Il se penche vers l’elployée. Cela n’a rien à voir mais il vient de remarquer qu’elle avait un grain de beauté assez particulier, juste à côté de l’œil. Est-ce qu’elle l’a déjà fait examiner ? Elle assure que oui et les médecins lui ont dit que ce n’était pas dangereux. Pas pour le moment en tout cas, répond Alex avec un petit sourire. Mais lui, il ne voudrait pas courir le risque. Enfin, bien sûr, il comprend que travailler pour l’Etat implique qu’on n’a pas une formidable assurance maladie. Mais vu qu’il est chirurgien, il pourrait très bien la soigner tout à fait gratuitement, à condition bien entendu qu’elle lui donne les renseignements qu’il veut sur Zola. Après avoir regardé discrètement autour d’elle, l’employée prend ses documents et tape le nom de Zola sur son clavier. Elle constate que le dossier est aux mains du juge Brentner. Malheureusement, ce dernier est absent aujourd’hui. Il suit un traitement de chimiothérapie pour un cancer de la prostate. En tant que docteur, est-ce qu’Alex pense que ce cancer est particulièrement dangereux ? Pas nécessairement, répond le jeune homme rusé. Tout dépend où le juge se fait soigner.

    Après avoir examiné la mère du patient d’Arizona, Teddy fait part de ses conclusions à Meredith. Il pourrait s’agir d’une cardiomyopathie postpartum. Elle va demander à ce que cette dame passe certains examens. Meredith en profite pour lui demander pourquoi Cristina doit faire une angioplastie. Elle sait que ça ne la regarde pas mais elle voudrait comprendre quelle est la finalité de tout ça, et elle sait que Cristina voudrait le savoir aussi. Teddy lui explique que si un résident de première année fait ce genre d’intervention pour apprendre une technique, un résident de cinquième année le fait pour apprendre le respect envers les maladies cardiaques que Cristina va connaitre tout au long de sa carrière. C’est là que tout commence, dans les artères. Il faut savoir revenir aux sources pour comprendre la fin. Revenir aux sources. Voila qui semble plaire à Meredith.

    Henry donne quelques conseils à Owen pour rendre son équipe plus efficace. Il faut mettre Jackson entre le deuxième et le troisième but, et Bailey au centre, parce qu’elle a une âme de leader. Elle saura à qui donner la balle. En voyant passer Meredith dans le couloir, il demande à Owen quelle place il lui a réservée. Owen pensait la mettre à gauche du terrain. Comme Henry veut savoir si elle est capable de rattraper une balle, Owen lui propose de le vérifier tout de suite. Il sort de son bureau et crie le nom de Meredith tout en lui lançant la balle. C’est Richard qui la rattrape. Qu’est-ce qui se passe ici ? Henry le montre du doigt à Owen. Il a trouvé son homme.

    Meredith s’adresse à Richard. Elle veut récupérer les journaux de sa mère pour retrouver les hypothèses qu’Ellis a formulées au début de son étude sur le diabète. Si elle veut trouver ce qui cloche, elle a besoin de reprendre le travail de sa mère dès le début. Richard est enchanté. Il savait qu’une fois que Meredith serait plongée dans ce travail, elle ne voudrait plus en sortir. Elle lui demande de ne pas pavoiser. Et où sont les journaux ? Tel un gamin excité, Richard lui fait signe de le suivre.

    Lexie sort de l’ascenseur qui mène sur le toit de l’hôpital. Elle y retrouve Derek et Owen qui s’entraînent à lancer des balles. Elle les informe que Clarissa et sa mère aimeraient savoir si l’intervention va avoir lieu aujourd’hui. Que faut-il leur répondre ? Que Derek est toujours en train d’y travailler ? C’est dit sur un ton ironique. Owen prétend que oui. Parfois le corps réfléchit mieux que le cerveau. Son téléphone sonne et il demande à Lexie de le remplacer pour lancer les balles à Derek. Celui-ci lui demande si elle a déjà joué au softball. Elle lui apprend qu’elle était lanceuse. Elle en profite pour lui parler de Mark. Il est amoureux. Derek sourit. Oui, quand on regarde la situation avec un œil de médecin. Personnellement, il est persuadé que cette nouvelle relation va durer 48 heures. Elle suppose qu’elle devrait être heureuse pour lui. Owen les rejoint pour dire à Derek de ne pas se formaliser du fait qu’il n’arrive pas à taper sur toutes les balles. Derek ironise que le fait qu’il découvre la nouvelle personnalité d’entraineur d’Owen. Il y travaille encore, reconnait celui-ci. Lexie pense que le problème se situe dans la position que Derek adopte quand il frappe avec la batte. Sa tête n’est pas dans le bon angle par rapport à ses épaules. Derek corrige sa position et fait mine de taper avec la batte quand il se ravise. Ce que vient de lui dire Lexie a manifestement éveillé quelque chose en lui. Owen semble aussi réfléchir. Derek vient de comprendre que s’il n’a pas réussi à opérer le cerveau du mannequin sans faire d’erreur, c’est tout simplement parce que la tête n’était pas dans le bon angle. Owen lui donne raison. Ils se dirigent tous les deux vers l’ascenseur.

    Derek explique à la mère de Clarissa qu’il a testé sa méthode. Il croit vraiment qu’il y a de grandes chances pour qu’il accède à la tumeur par le dessus et qu’il la retire entièrement. De grandes chances ? Cela ne semble pas assez à la mère de Clarissa. Derek lui fait remarquer qu’il y a des risques, quelle que soit la méthode choisie. Cependant, il ne nie pas que son option en comporte plus. La mère de Clarissa le remercie d’avoir essayé mais elle ne veut pas courir le risque que sa fille meure durant l’intervention. Clarissa ne sera pas le cobaye du chirurgien. Derek lui demande si, quand elle faisait ses recherches, elle est tombée sur le cas d’un enfant qui s’en sortait bien avec une tumeur comme celle de sa fille, qui arrivait à trouver un travail, qui avait une vie normale. Ce qu’il lui propose est leur meilleure chance. La mère regarde sa fille à travers la vitre de sa chambre.

    Owen et Henry distribuent les tenues aux joueurs et informent ces derniers de la place qu’ils occuperont sur le terrain. Bailey demande à Henry ce qu’il fait là. Il répond qu’il est en train de travailler. Elle informe Owen qu’elle pourrait ne pas participer au match. Elle doit encore contacter 49 patients pour leur donner la même mauvaise nouvelle qu’elle a donné à Henry. Celui-ci se tourne vers Owen. Ils vont avoir besoin d’un remplaçant. Owen continue à indiquer à chacun son rôle. Derek sera le lanceur. Pas possible, claironne Mark, qui indique que son ami lui a signalé que son intervention durerait très longtemps. Teddy en profite pour proposer à nouveau sa candidature. N’ayant pas trop le choix, Owen et Henry marquent leur accord. Henry suggère que Derek soit le batteur désigné. Callie interrompt la réunion pour demander à Owen de lui signer un bon de commande pour du matériel dont il devine immédiatement qu’il est destiné à Carl. Il s’en étonne. Callie n’avait-elle pas dit qu’il n’y avait pas moyen de sauver sa main ? Elle veut essayer de la reconstruire. Ça va être génial. Elle donne rendez-vous à April en salle d’opération. Lexie, qui fouille dans la caisse des tenues, se plaint qu’il n’y ait plus de petite taille. April se met à fouiller dans le paquet, toute énervée. Elle ne comprend pas. Elle avait pourtant demandé qu’on livre un assortiment de tailles différentes. Elle avait été très claire à ce sujet. Owen lance une blouse à Mark qui ne doute pas qu’il sera éblouissant dedans. En quand on a une belle allure, on joue bien, dit-il à Jackson. Les deux hommes se tapent dans les mains. Lexie demande à Jackson ce que ça voulait dire. Rien de spécial, répond-t-il. Mark est simplement un gars très sympa et la bonne humeur qu’il manifeste pour le moment le pousse à laisser Jackson faire la moitié de ses opérations. La nuit dernière, il lui a même confié le centre des grands brûlés. Sympa, estime Lexie avant de quitter la salle. Quand Owen et Henry se retournent, il n’y a plus personne. Comme Owen est perplexe, Henry lui rappelle que la victoire est une attitude et ils sont des vainqueurs.

    Callie et April sont en train d’opérer Carl. Callie donne des explications qu’April n’écoute guère. Ce qui la préoccupe, c’est qu’Owen ne semble pas réaliser tout le travail qu’elle effectue, en s’arrangeant pour que toutes les interventions prévues aient lieu. Composer les équipes et les plannings, ce n’est pas rien. Elle n’est peut-être pas assez souvent au bloc mais… Callie lui coupe la parole. Est-ce qu’elle veut être une assistante administrative ? Est-ce de cela dont elle a vraiment envie ? Est-ce que son cœur chante quand elle y pense ? Comme April assure que non, elle la conjure d’arrêter de pleurnicher et de se cacher derrière la paperasserie. Si être au bloc lui plait, alors qu’elle y aille ! Elle lui tend un outil. April est étonnée. Callie compte sur elle pour insérer la broche ? Si le cœur lui en dit, répond la titulaire. Enchantée, April s’apprête à procéder selon les conseils de sa supérieure lorsque le moniteur se met à sonner. La jeune femme jure qu’elle n’y est pour rien. Callie ne comprend pas. L’anesthésiste annonce que la pression sanguine s’effondre sans qu’il sache pourquoi. Il va transfuser du sang. En regardant le moniteur, il semble à April qu’il s’agit d’alternance électrique. Callie regarde à son tour et devine que Carl fait une tamponnade. Elle demande que l’on bipe la cardio.

    Dans un couloir, Bailey se heurte à Meredith qui est en train de lire un des journaux d’Ellis. Bailey regarde ce qu’elle tient en main et lui demande d’un ton sec ce que c’est. Meredith répond qu’il s’agit d’un journal de sa mère. Bailey s’en est aperçu. Ce qu’elle veut savoir, c’est ce que Meredith fait avec. Cette dernière répond sèchement qu’elle le lit parce que c’est le journal de sa mère.

    C’est Cristina qui est venue au secours de Carl. Elle pense qu’une des aortes doit être déchirée. Callie suppose que cela s’est produit lorsque l’éboueur est tombé de son camion. Il a probablement dû s’évanouir à ce moment là. Cristina demande que l’on prévienne Teddy. Comme April veut savoir pourquoi, Cristina lui apprend qu’elles vont devoir ouvrir le torse de Carl. Elle invite sa camarade à commencer la thoracotomie. April semble épouvantée. Pourquoi elle ? Et Cristina, qu’est-ce qu’elle va faire ? Mettre une blouse et des gants, précise l’intéressée avant d’ordonner à sa chef d’ouvrir la poitrine du patient. April panique. Elle n’a jamais fait ça avant. Encouragée par Callie et poussée par Cristina, April se décide enfin à inciser la peau de Carl.

    Quelques minutes plus tard, c’est elle qui procède à l’intervention, guidée par Cristina. Elle demande cependant à cette dernière si elle est certaine de ne pas vouloir le faire elle-même. Teddy entre dans la salle et demande ce qui se passe. Cristina le lui explique en deux mots, en précisant que c’est April qui pratique l’intervention. Teddy annonce qu’elle va aller se préparer. Cristina l’assistera. Elle demande ensuite à Callie si elle peut évacuer la salle. Callie préférerait que Teddy opère en même temps qu’elle. Comme son amie va protester, arguant du fait qu’elle va essayer de sauver la vie de cet homme, Callie l’interrompt en lui disant que c’est ce qu’elle fait aussi. Teddy s’incline. Elle va sortir de la salle pour aller se préparer lorsqu’elle demande à Cristina pourquoi elle n’a pas commencé sans elle. Cristina prétend qu’elle n’en a pas eu besoin. April avait déjà les choses bien en main.  

    Dans l’autre salle, Derek a déjà retiré une partie de la tumeur de Clarissa. Maintenant il doit bouger la tête de l’adolescente pour pouvoir retirer le reste. Il demande à Lexie de tenir la sonde afin qu’il puisse ajuster correctement la tête de la patiente. Elle ne comprend pas pourquoi il ne retire pas la sonde tout simplement. C’est trop risqué selon lui. S’il la retire maintenant, il pourrait causer des dommages au tissu cérébral. Il passe la sonde à la jeune femme en lui recommandant de ne pas la bouger d’un millimètre, sinon tout est terminé. Il modifie l’inclinaison de la tête et félicite Lexie pour son travail. Il va recommencer à retirer la tumeur lorsque le moniteur se met à sonner. Lexie constate que les battements du cœur sont montés à 130. Derek pense que c’est dû au fait que le morceau de tumeur qu’il retire entraine avec lui l’hypothalamus. Le cœur bat de plus en plus fort. Derek comprend qu’il doit retirer la sonde. Il n’a pas le choix. Effectivement, celle-ci est à peine enlevée que le moniteur se tait. Lexie demande à Derek ce qu’il va faire maintenant car la tumeur n’a pas été enlevée totalement. Il va recommencer. Il réintroduit la sonde.

    Teddy demande encore une fois à Cristina pourquoi elle n’a pas réparé l’aorte de Carl elle-même. Pourquoi avoir attendu qu’elle arrive ? Cristina pense qu’il s’agit d’une question piège mais Teddy l’assure du contraire. Elle veut seulement savoir. Cristina n’en revient pas. Quoi ? Maintenant elle va avoir des ennuis pour l’avoir attendue ? Si elle avait commencé l’intervention sans Teddy, celle-ci l’aurait mise en pièces. Teddy lui fait remarquer qu’il y a encore deux mois, elle aurait plaqué April au sol afin de pouvoir ouvrir la poitrine de ce gars. Et maintenant, elle la laisse faire à sa place. En plus, il est connu qu’elle ne l’apprécie même pas. April confirme. Cristina reconnait qu’elle aurait pu le faire elle-même mais April était là. Exactement, répond Teddy. Cristina annonce qu’elle en a fini. Callie demande à ses consœurs si elles peuvent s’en aller. April et elle ont encore beaucoup de pain sur la planche.

    A l’extérieur de la salle, Cristina annonce à Teddy qu’elle laisse tomber. Elle ne comprend plus ce que son mentor essaie de faire. Si elle opère, elle a des ennuis, et elle en a aussi si elle n’opère pas. Elle est une résidente de cinquième année qui fait du boulot d’interne. Qu’est-ce que Teddy attend d’elle ? Teddy lui demande de faire une liste. Où ça, persifle Cristina. Sur le tableau ? Doit-elle écrire "je ne ferai pas d’intervention sans un casque de sécurité" ? Teddy ne relève pas l’insolence. Ce qu’elle veut, c’est que Cristina fasse la liste de toutes les interventions qu’elle rêve de faire. Qu’elle n’ait pas de limites et Teddy s’arrangera pour qu’elle puisse réaliser quelques-uns de ses rêves. Comme Cristina ne semble pas comprendre, Teddy lui a dit que la leçon est finie. Cristina a obtenu son diplôme. Et ceci est son cadeau. Cristina croit que Teddy veut la pousser à bout. Teddy lui rappelle qu’au début de l’année, elle a failli tuer Alex, tout ça parce qu’elle voulait juste être de la partie, être la meilleure et être la première. Mais aujourd’hui, elle n’est plus la même. Teddy le voit. Cristina n’est plus la même mais elle est pourtant tout aussi bonne, tout aussi perfectionnée, mais maintenant en plus, elle est disposée à travailler en équipe. Aujourd’hui, elle a mis l’intérêt du patient avant le sien. C’est ça que Teddy voulait voir. Alors maintenant, qu’elle aille faire sa liste ! Teddy sort de la salle. Cristina sourit. 

    Bailey est furieuse de trouver Meredith auprès de ses souris. Elle lui ordonne de sortir du laboratoire sinon, elle jure qu’elle va la mettre dehors à coups de pied. Meredith, l’œil collé au microscope, lui fait signe de se taire. Elle veut juste voir si la cellule a survécu. Oui, c’est le cas, s’exclame-t-elle d’un ton joyeux. Elle explique à Bailey que la lecture des journaux de sa mère lui a fait comprendre que celle-ci se trompait. Le problème, c’était l’oxygène que les cellules n’avaient pas en suffisance. Ellis avait extrapolé la masse d’oxygène sur base des tests réalisés sur les souris. Mais Meredith a constaté que la structure interne d’un ilot de cellules d’une souris est complètement différente de celle d’un être humain. Donc l’hypothèse d’Ellis était fausse et voila pourquoi les cellules contenues dans l’implant ne survivaient pas. Elle part après avoir indiqué à Bailey qu’elle a marqué la page du journal d’Ellis. Bailey regarde les cellules au microscope avant de lancer un regard à la fois noir et perplexe en direction de la porte par où Meredith vient de sortir.

    Derek informe la mère de Clarissa qu’il a été capable de retirer toute la tumeur. Toutefois ils ne sauront pas où ils en sont avant deux jours. La mère de Clarissa ne le laisse pas terminer. En pleurs, elle le serre dans ses bras. Elle veut être sûre d’avoir bien compris qu’avoir retiré toute la tumeur implique que sa fille ne fera plus de convulsions ni de crises. Lexie plaisante sur le fait que comme il s’agit d’une adolescente, il pourrait encore y avoir quelques crises. Oui mais plus à cause de la tumeur, précise Derek en souriant. La mère de Clarissa éclate de rire avant de se tourner vers sa fille. Les deux chirurgiens la regardent, ravis et émus.

    Carl se réveille et n’en revient pas de voir qu’il a conservé ses doigts. Callie lui explique qu’elle a dû lui reconstruire une nouvelle ossature. Cela n’a pas été simple mais elle a réussi à sauver sa main. Carl veut savoir si celle-ci fonctionnera. Ça devrait. Bien sûr, il y aura encore quelques interventions de suivi ainsi que beaucoup de rééducation mais Carl devrait retrouver une complète mobilité de la main. Emu Carl remercie Callie avant de se tourner vers sa femme. Il le lui avait bien dit, cette chirurgienne est une artiste.

    Vêtu d’une blouse blanche, Alex entre dans une salle et demande si Monsieur Brentner est là. Un monsieur se signale. Alex va s’asseoir en face de lui avec son dossier en main. Mr Brentner, le prenant pour un de ses médecins, lui demande si le traitement agit convenablement. Alex répond que quelqu’un va venir le lui dire dans peu de temps. Lui n’est pas là pour ça. Il est là pour lui parler de Zola. Elle vient d’Afrique. Le juge l’interrompt. Il ne peut pas parler d’un cas ici. Alex insiste. Il est le médecin de cet enfant qui souffre d’un spina bifida. Deux médecins veulent l’adopter. Ils attendent de pouvoir être reçus en audience. Mais en attendant, la petite est coincée dans une maison d’accueil. Le juge trouve que cette discussion est complètement hors de propos. Mais rien ne peut faire taire Alex qui estime qu’une enfant malade comme Zola n’a rien à faire dans une famille d’accueil. Elle a besoin de vivre dans un foyer stable avec de bons parents, à savoir ceux qui veulent l’adopter. Sans cela, son état va empirer. Le juge appelle une infirmière à la rescousse. Comprenant qu’il risque gros, Alex se lève. Très bien, il va partir. Tout ce qu’il demande, c’est que le juge jette un coup d’œil au dossier. Il dépose celui-ci devant le juge et s’apprête à sortir lorsque celui-ci le rappelle. Chercher à influencer un juge est un délit. Alex part en courant.

    Le match de softball a commencé. Fortement encouragé par son équipe, Derek s’apprête à relancer la balle. Il y arrive sans peine et, après s’être débarrassé de la batte, fait le tour du terrain en courant, fortement acclamé par les siens. Malheureusement, le joueur de l’équipe adverse atteint sa base avant que Derek ait terminé son tour. L’équipe du Seattle Grace est dépitée. Owen tente de galvaniser ses troupes. Ils peuvent y arriver. Meredith souffle. Peu de chances ! Le score est de 8 à 0. Alex est d’accord avec elle. Ils ont merdé. Owen devrait jeter le gant immédiatement. Cristina lâche que le nouveau chef a quelque chose à prouver. Elle rejoint son amie et lui demande si elle a encore sa… Meredith lui remet discrètement une flasque d’alcool.

    Les rôles sont maintenant inversés. Teddy va lancer la balle et c’est un membre de l’équipe du Seattle Presbyterian qui doit la recevoir. Le premier essai de Teddy n’est pas concluant. Cristina demande à Meredith si elle a un bic. Teddy lui a suggérer de faire une liste des interventions qu’elle veut faire. Elle a gardé espoir et voila ce qui lui arrive. Qui aurait pensé que ça payerait ? Ça n’a pas payé pour moi, déplore Meredith, qui vient de boire une bonne lampée de sa gourde. Quoiqu’elle a peut-être trouvé un truc pour soigner le diabète, ajoute-t-elle avant de boire une autre gorgée. Cristina pense que sa mère serait fière d’elle. Meredith lui lance un regard perplexe. Cristina éclate de rire. Non, probablement pas, reconnait Meredith en riant aussi. Teddy fait une autre tentative, tout aussi minable que les deux premières. Son équipe ne lui épargne pas les quolibets. Callie arrive enfin et rejoint Arizona qui s’étonne de la voir là. Callie répond qu’elle est un joueur de champ extérieur itinérant. Avec un regard coquin, elle exécute une petite danse devant sa compagne avant de l’embrasser. Des cris les font s’arrêter. Teddy a enfin réussi à lancer une balle qui a été relancée par l’équipe adverse. De leur côté, Cristina et Meredith réalisent que la balle se dirige vers elles. Cristina ne sait pas comment réagir mais Meredith hurle qu’elle va la prendre. Elle est devancée par Bailey. Meredith lu fait remarquer qu’elle s’apprêtait à prendre la balle. Bailey se montre condescendante. Vraiment ? Et elle comptait en faire quoi ? La laisser tomber par terre encore une fois ? Rendue plus franche par l’alcool, Meredith lui demande quel est son problème. Elle n’en a rien à faire de son stupide essai clinique. Elle avait juste besoin de quelque chose pour se vider l’esprit. Cristina tente de la faire taire mais en vain. Bailey comprend que Meredith est ivre. Cristina avoue. Elles ont trop bu toutes les deux. Meredith insiste. Elle veut avoir pourquoi Bailey se comporte comme ça avec elle. Bailey s’avance devant elle, avec un air de défi. Meredith veut vraiment le savoir quel est le problème ? D’accord ! Eh bien, le problème, c’est elle, elle qui se mêle tout le temps de son essai clinique. Très rapidement, les éclats de voix de la titulaire attitrent l’attention de l’équipe. Richard demande un temps mort et annonce à Owen qu’il va gérer la situation.

    La nouvelle petite amie de Mark se tourne vers lui. Tout ça doit être plutôt humiliant pour lui, non ? Il réplique qu’il l’a trouvée terriblement sexy quand elle était sur le marbre. Ils s’embrassent. Assise auprès de Jackson, Lexie souffle. Ils devraient prendre une chambre. C’est dégoutant. Lâche-le un peu, lui suggère Jackson. Elle lui fait remarquer que Mark sort avec l’ennemie. Jackson ne voit pas ce que ça peut faire. Mark semble heureux et si Mark est heureux, il l’est aussi. Il jette un coup d’œil à son amie et voit qu’elle enrage. Eux aussi sont heureux n’est-ce pas ? Elle ne répond pas mais se lève de son banc. Et si on jouait un peu ! Jackson est perplexe.

    De l’autre côté du terrain, Bailey et Meredith règlent toujours leurs comptes, la première accusant la seconde d’être imprudente et irresponsable. Meredith s’emporte. Cette histoire ne concerne qu’elle, Richard et son mari. Alors que Bailey se mêle de ses affaires ! Après tout, elle n’est pas son patron, assène-t-elle sous le regard effaré de Cristina. Dieu merci, s’écrie Bailey. Ils peuvent s’estimer heureux d’avoir pu conserver au moins un essai. Richard ordonne aux deux femmes de se taire. Il s’adresse d’abord à Bailey. Il en a assez qu’elle remue le couteau dans la plaie en rappelant sans cesse ses erreurs à Meredith, alors qu’elle n’est pas capable de réparer les siennes. Son essai est un échec ! Que cela lui plaise ou pas, elle a besoin de Meredith. Il se tourne ensuite vers cette dernière. Même sa mère, la grande Ellis Grey, a fait une erreur. Elle vient de la réparer. Maintenant, elle doit remédier à celles qu’elle a commises. Il serait temps qu’elle retire ses ridicules blouses roses et qu’elle revienne faire le boulot pour lequel elle est née. Cristina approuve d’un discret signe de tête. Richard ajoute qu’il attend maintenant que les deux femmes trouvent le moyen de travailler ensemble. Mais cela ne va pas se faire, ici, sur le terrain ; elles feront cela lundi, dans leur laboratoire. Est-ce que c’est bien clair ? Oui, répondent-elles en chœur. Richard se tourne vers Owen et donne le signal de la reprise du match. Teddy lance encore une balle que Brad n’a aucun mal à relancer au-dessus du mur. Derek est dépité. Henry s’avance vers Owen pour lui annoncer qu’ils sont en train de perdre 0 à 12. Derek demande sèchement combien de temps ils vont laisser Teddy continuer à lancer. Henry prend la défense de sa femme. Elle y est presque. Si elle pouvait juste mettre un petit peu d’effet dans son mouvement… Owen lui coupe la parole. Teddy est vraiment mauvaise. Oui, elle craint, reconnait Henry. Pendant ce temps, Brad exécute une petite danse de la victoire avant de venir défier son adversaire. Est-ce qu’il n’abandonnerait pas ? Son équipe semble un peu fatiguée. Sans doute ont-ils envie de faire une petite sieste. Piqué au vif, Owen décide de reprendre les choses en main. Il demande à Derek de prendre son gant. Derek suggère que Lexie le remplace. Il appelle la jeune femme pendant qu’Henry va annoncer à son épouse qu’elle doit céder sa place à quelqu’un d’autre. Mais elle a vraiment fait du bon boulot. Satisfaite de ce qu’elle a fait, Teddy ne veut pas s’arrêter en si bon chemin. Elle vient à peine de s’échauffer. Henry décide de l’avoir aux sentiments. Est-ce que c’est vraiment comme ça qu’elle veut passer les derniers moments qu’il leur reste à vivre ensemble ? Elle ferait mieux de lui donner sa balle parce qu’il sent bien que son implant est en train de foirer. Elle lui tape la balle dans la main. Elle le déteste ! Ils se sourient. Owen réclame un autre temps mort au grand dam de l’autre équipe. Il réunit ses coéquipiers pour leur dire à quel point il est fier d’eux. Ils forment une équipe incroyable. Il les a regardés travailler ensemble, résoudre des problèmes, enseigner les uns aux autres et apprendre les uns des autres. Ils foncent quand il faut le faire et ils en font toujours plus que ce qu’on leur demande. Ils forment la meilleure équipe dont il pouvait rêver. Mark se moque de lui. Alex trouve son discours vraiment triste. Richard le trouve très beau, par contre. Callie lui demande s’il croit sincèrement qu’ils ont la moindre chance de gagner ce match. Non, il ne se fait aucune illusion. Ils ont foiré. Ils sont vraiment trop mauvais au softball. Mais en tant que médecins, ils sont géniaux et il est très fier d’être leur chef. Voila ce qu’il voulait leur dire. Mais maintenant, ils vont aller perdre ce match. Cependant, ils vont le perdre en se battant. Après avoir poussé leur cri de guerre, ils se dispersent pour prendre leur place sur le terrain ou sur le côté. Lexie, qui remplace Teddy, est encouragée par April et Derek. Mais la jeune femme est distraite par Mark et sa copine qui flirtent sur le côté. Après le premier lancer, Julia se moque de Lexie. C’est ça, la fameuse lanceuse ? Sa grand-mère ferait mieux que ça. Lexie se tourne vers elle et lance une balle qui l’atteint en pleine poitrine. Mark proteste vivement. Callie fait une grimace comme si c’était elle qui avait reçu l’impact. Tout le monde se retrouve près de Julia tandis que Brad s’en prend à Owen. Et si la balle avait atteint Julia à la main ? Dans de telles conditions, il préfère arrêter le match. Owen saute sur la perche qui lui est tendue. Cela veut donc dire que le Seattle Presbyterian déclare forfait ? Brad proteste. Quel forfait ? Ils les ont écrasés. Oui mais c’est un forfait, insiste Owen.

    Le soir est tombé. L’équipe du Seattle Grace est toujours là, assise sur les gradins qui sont en bord de terrain. La flasque de Meredith passe de main en main. Richard lance un regard noir à Alex lorsqu’il la lui tend. Le jeune homme se ravise et boit une gorgée. Henry remercie ses nouveaux amis de lui avoir permis de faire partie de l’aventure, même s’il n’a pas fait grand-chose. Teddy et lui sont les premiers à s’en aller. Derek serre sa femme contre lui et lui donne un baiser sur le front. Arizona se lève. Comme c’est Mark qui joue encore une fois le rôle de la nounou, elle préfère rentrer, elle aussi. Lexie demande à Callie si ça va aller pour la petite amie de Mark. Callie plaisante sur le fait que la balle a atteint la jeune femme dans la poitrine. Mark saura bien s’en occuper. Elle suit Arizona. Jackson, qui a le regard mauvais, demande à Lexie si elle va enfin se décider à lui expliquer son geste. Lexie prétend qu’elle a pensé que Julia allait voler la seconde base. Jackson n’en croit pas un mot. Dégouté, il s’éloigne. April qui est complètement saoule, confie à Bailey qu’elle a l’impression d’entendre son cœur chanter. Elle se met à fredonner et à rire en même temps. Amusé, Alex se tourne vers elle alors que Bailey demande à la jeune femme si elle est ivre. Elle décide de la ramener chez elle. Avant de se lever, elle dit sèchement à Meredith qu’elle compte sur sa présence au labo avant la tournée des patients. Meredith promet d’y être avant d’éclater de rire, sous le regard amusé de Derek. Richard félicite Owen d’avoir tenu le coup pendant quatre manches. Deux de plus que toutes les équipes que lui-même a jadis menées. Aussi éméchée que Meredith, Cristina se tourne vers Owen. Est-ce qu’il pense qu’elle pourrait faire une transplantation hétérotopique ? Ce soir ? Non ! Bien répondu, lui dit-elle. Il est un bon chef. A leur tour de quitter le terrain. Alex tend la flasque d’alcool à Derek qui la refuse. Il a assez bu, et Meredith aussi, précise-t-il à l’intention de sa femme qui éclate de rire. Elle prend quand même la flasque mais sans la porter à sa bouche. Alex fait le bilan du match : ça a été un vrai massacre. Meredith éclate de rire une fois encore. Elle n’arrive pas à croire qu’ils aient été si mauvais. Derek l’approuve. Meredith demande à son ami où il était la veille. Il élude la question. Il était occupé. Elle trouve qu’il a l’air triste. Pour le consoler, elle lui tend sa flasque. Derek annonce qu’il vient de recevoir un message de Janet. Il suppose que le juge a pris contact avec elle puisqu’elle lui dit qu’il a examiné le dossier de Zola et il va définir une date pour l’audience. La nouvelle enchante Meredith. Les époux s’embrassent. Meredith se tourne vers son ami et l’embrasse aussi. Il va y avoir une audience, enfin ! Le couple part à son tour, laissant Alex seul sur les gradins, avec la flasque.

     

    Voix off : Donc nous ne pouvons pas toujours être vainqueurs, mais nous ne sommes pas paresseux. Nous prenons des risques. Nous jouons notre va tout. Nous faisons le maximum pour lancer la balle le plus loin possible. Et parfois, oui, nous sommes hors jeu. Mais parfois, nous faisons un carton.


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