• Spoilers

    Dans une interview accordée à Deadline, Krista Vernoff et l’ancien acteur parlent du retour du personnage mystère, des retrouvailles avec Meredith et de ce qui va se passer par la suite.

    Commençons par la scène finale de T.R. Knight, dans laquelle il est rejoint sur la plage par les trois autres membres du cast original de Grey ‘s. Est-ce une coïncidence ou un clin d'œil aux fans, un retour aux premières années de la série ?
    VERNOFF: Eh bien, ce n'était certainement pas une simple coïncidence. Ça a été une belle proposition de Meg Marinis et d’Andy Reaser, qui sont mes adjoints dans Grey's Anatomy. J'avais écrit la scène de George sur la plage. Certains des scénaristes de cette saison ne savaient même pas qui étaient les invités spéciaux, alors j'ai écrit moi-même toutes les scènes de plage, et quand Meg et Andy les ont lues, ils sont venus me voir, et c'est Meg qui a dit, on a une opportunité ici, parce que Bailey et Richard parlent au-dessus du lit de Meredith, de les faire apparaître sur la plage, et d'avoir ce que je pense être un moment instantanément emblématique des quatre ensemble à nouveau, et je me suis dit, oui, bien sûr. C'est pour ça qu'on engage des gens intelligents. C'est tellement bien.

    T.R., cette scène vous a-t-elle semblé emblématique ?
    KNIGHT: Même si on l’a tournée à la mi-octobre, j'essaie encore de mettre des mots sur la profondeur que cette expérience a eue pour moi, alors le simple fait d'entendre ça a fait couler un peu d'eau salée de mes yeux. Quand Krista m'a donné le premier scénario, Bailey n'était pas encore dedans, je crois que Richard, oui. Et puis, j'ai eu le deuxième scénario. C'est juste difficile pour moi de dire, encore, à quel point c’était significatif.
    VERNOFF: J’ai eu la gorge serrée en disant ça aussi, T.R. C'est émouvant pour moi aussi.
    KNIGHT: Ça a été incroyable, ça a été simplement un sentiment d'amour irrésistible à ce moment-là. On était un peu à l'écart de tout le monde parce que c'était filmé par un drone, et donc il n'y avait que nous quatre, et le soleil était en train de se coucher, et cette grosse mouche bourdonnait autour de nos têtes, et cela m'a rempli d’une grande joie.
    VERNOFF: Ce qui est étonnant, c'est que les scénaristes n’étaient pas au courant de l'évolution, du déroulement. Julie Wong, qui a écrit cette épisode extrêmement puissant, a été mise au courant après avoir écrit son premier ou son deuxième jet, je ne m'en souviens pas. En fait, ce n'est pas seulement qu'elle a été mise au courant, c'est que j'ai décidé qu'elle allait avoir George, que les scènes de George seraient dans cet épisode. On a donc dû faire de la place pour ça, et j’ai dit à Julie: "Je veux faire une autre scène. On a du temps dans cet épisode. Je veux tout ce que je peux avec T.R., je veux une scène de plus." Julie a été fan de la série, et elle est devenue dingue, ‘OH MON DIEU. J'AI GEORGE ?’ Et puis elle est partie pour revoir les cinq premières saisons, parce qu'elle avait la pression d'écrire une scène de plus avec George, et elle a écrit cette scène exquise à la fin où Meredith dit : "Tu as changé ma vie, George". Cette scène qui vous fait pleurer, c'était Julie, et je trouve que ça a été le plus grand moment. Quand les gens sont fans et qu'ils se mettent à travailler pour la série, tout se met en place avec une sorte de magie, où on peut écrire pour George O'Malley dans la saison 17, c'était assez incroyable.

    T.R., lorsque vous étiez ensemble, tous les quatre, de quoi avez-vous parlé entre les prises ?
    KNIGHT: J'étais déjà trop ému avant, alors je vais vous raconter quelque chose de drôle parce qu'il y avait le drone et tellement de bruit avec l'océan, et on entend une faible voix via un mégaphone qui dirige la scène mais on ne peut pas vraiment l'entendre parce qu'il y a les vagues, et donc à un moment donné, j'ai cru entendre "OK, regarde Chandra", qui est assise à côté de moi, et donc je la regarde. Elle regarde l'eau, et tout à coup, elle me tourne lentement les yeux vers moi. Sa bouche ne bouge pas, et ses yeux disent simplement : "Est-ce que tu devrais me regarder ? Pourquoi me regardes-tu ?" Cela m'a fait éclater de rire parce que c'est ce que j'ai cru entendre, et qui sait si c'était vrai.
    VERNOFF: On dirigeait la scène avec un micro. On était à une centaine de mètres, avec l’océan, la marée montante et le soleil couchant. Ce plan est à une heure magique, ce qui veut dire que vous avez trois minutes, et on va faire un bruit sourd comme si on parlait dans un micro.
    KNIGHT: Ça ressemble un peu à ça. J'espère que je n'ai pas gâché le moment. Ils me regardent tous l’air de dire, pourquoi diable regarde-t-il Chandra ?
    VERNOFF: Non, en fait, on te disait de regarder Chandra. La première version qu’on a tournée, ils regardaient tous l'océan, et c'était vraiment parfait. C'était trop parfait. On n'avait pas l'impression d'avoir de vieux amis, alors on a crié dans le micro, "fais autre chose. T.R., regarde Chandra", et ça a pris vie de la façon dont tu l’as fait.
    KNIGHT: Oh, c'est bien. Bien.

    George est le deuxième personnage chéri de Grey’s après Derek à revenir dans le thème de la plage. Comment le retour de T.R. s'est-il organisé ?
    VERNOFF: Eh bien, George était ma première idée. Quand cette idée m'est venue, je marchais sur la plage, comme je vous l'ai dit. J'avais trouvé un chemin où il n'y avait personne et j'avais l'impression que je pouvais enlever mon masque et marcher les pieds dans l'eau, et l'idée m'est venue de Meredith marchant les pieds dans l'eau avec George. C'est la première image qui m'est venue, et la joie qui m'a remplie quand elle est venue se traduit, je crois, à l'écran et je pense que nous avons donné à plusieurs millions de fans ce moment de pure joie. En ce moment, dans notre vie, avec cette pandémie, la joie pure est rare, et je suis donc très reconnaissante à T.R. d'être venu jouer et d'offrir ça à tout le monde, parce que je trouve que c'est significatif. Quand j'ai appelé Ellen, je lui ai dit, j'ai eu l'idée de te faire faire des rêves sur la plage, et je veux avoir quelqu'un d'extraordinaire, comme T.R.. Ellen m'a dit : "Oui, prends T.R., et aussi Patrick. C’est comme ça que mon idée a évolué. Ellen et T.R. sont proches, et George et T.R. ont toujours été mes préférés, et donc ça a été ma première idée, en tant que fan, concernant qui je veux revoir ? Je voulais voir George, c'est donc là que tout a commencé. Et puis, je ne sais pas comment expliquer l'évolution des scénarios sous ma direction, mais parfois on a une évolution de dernière minute. J'ai écrit les scènes, et je ne savais pas où ce qu’elles allaient donner. On ne les avait pas encore tournées et puis on a pris une décision.

    T.R., qui vous a appelé et quelle a été votre première réaction ?
    KNIGHT: Ellen y a fait allusion en premier, mais ensuite Krista a appelé, et on a parlé pendant une heure. Probablement que ses oreilles ont saigné un peu après, pas trop, j'espère, mais c'était incroyable. Ce qui était intéressant, c'est que Krista, j'espère que ça ne te dérange pas que j’en parle. Krista a dit à un moment de notre longue conversation, qu’elle pensait que cela pourrait, si c’était possible, de permettre de tourner la page, et j’ai dit : "Oh, je pense que c'est déjà fait". Ce qui était intéressant, c'est ce que mon mari, qui est beaucoup plus intelligent que moi, et d'accord, on peut dire que la barre est basse, m’a dit… On parlait de cette idée de tourner la page et il a dit que parfois tourner la page consiste à fermer une porte, et parfois à revisiter une pièce familière, et à trouver ce qui vous a apporté de la joie. Et ça m'a frappé.
    Je suis allé sur le plateau ce jour-là, parce qu’on tournait sur la plage et c'était un tournage matinal, donc je conduis dans le noir parce que je veux être en avance. On ne veut pas être en retard. Je conduis sur cette route venteuse dans le noir, et les gens commencent tout juste à arriver, et je vois Laura Petticord, c'est notre deuxième assistante réalisatrice. Elle s'occupe du camp de base et elle nous rassemble tous, elle fait ce travail capital, et c'est une personne qui est dans la série, je pense, depuis le tout début, ou du moins depuis la première saison. C’est la gentillesse incarnée, donc la voir, et puis tout d'un coup voir Shawn Hanley, qui est maintenant le premier assistant réalisateur, et puis Norman Leavitt, qui est sorti de sa semi-retraite pour essayer de faire en sorte que tout ça ressemble à quelque chose qui ne soit pas horrible. Ça a été tout simplement une vague de bonheur, de joie l’une après l'autre. Krista a été présente toute la journée. Linda Klein, aussi.
    VERNOFF: Elle est productrice médicale et il n'y avait pas de médecine dans les scènes de plage.
    KNIGHT: Et puis Ellen, Chandra, Jim, bien sûr, et tous les autres visages familiers qui étaient là aussi, parce qu'il y avait encore pas mal de monde. Tout cela n'avait rien à voir avec les autres expériences que j'ai vécues au cours de mes 47 ans de vie. Jouer avec Ellen, c'est une de ces choses qu'on voudrait voir se produire tout le temps, mais ce ne serait pas spécial quand ça arriverait, de jouer avec une personne dont on sait simplement que c'est comme, OK, qu'est-ce que tu vas me donner là. Ok, maintenant je vais essayer de faire quelque chose qui aille avec ça, et ensuite on joue. Ce sont des montagnes russes sur lesquelles on est ensemble. Pour pouvoir revivre ça avec Ellen, savoir que chaque prise va être différente, il va y avoir un sens du jeu, un sens du défi. C'est la meilleure façon de jouer.

    Votre départ de la série a suscité une certaine émotion. La décennie et plus qui s'est écoulée depuis vous a-t-elle permis de prendre du recul ? La série vous a-t-elle manqué ?
    KNIGHT: Oui. C'est George. Jouer la comédie, c'est interpréter, on prend ce qu'on nous donne. C'était difficile pour mon cerveau d'essayer de trouver qui était George maintenant, ou ce qu'il serait, et puis recevoir les scénarios de Krista, même le premier. Je n'en ai eu que deux, mais c'était juste...oh oui. Je ne sais pas comment le décrire autrement, oui, George était là. C'est cette chance d'avoir d'excellents scénaristes qui vous donnent tellement de choses. C'est un peu comme si, c’est une mauvaise métaphore, comme si jouer la comédie, c'est escalader une montagne et puis quand vous avez une excellente histoire qui vous soutient, c'est comme une gondole qui vous soulève tout en haut. Elle vous dépose non pas au sommet, parce que vous devez encore faire beaucoup de travail vous-même, mais près du sommet et cela rend l'ascension tellement plus facile, et je vais arrêter cette horrible métaphore tout de suite. Ce que j'ai aimé dans ce que Krista a fait avec George, c'est que Meredith a cette vision, faute d'un meilleur mot, de qui serait George. George est une personne très compliquée et c'est ce qui l’a rendu si plaisant à jouer, mais Meredith voit le meilleur de George : elle voit son humour, sa gentillesse, sa générosité, et dans ce bref moment où on le voit, c'est une très bonne façon de se souvenir de lui. On sait tous que George avait aussi des défauts. Il a souvent trébuché. Littéralement et métaphoriquement, il était un peu passif-agressif, avait un peu de colère, il gardait rancune un peu trop longtemps, mais c'est ce qui faisait de lui un personnage si brillant à jouer, alors pouvoir revenir dans cet univers, ça a été... Comme je l'ai dit, il y a un meilleur mot que profond, et je le trouverai un jour.

    Avez-vous suivi les mêmes procédures de sécurité élaborées pour Patrick pour garder le secret sur le retour de T.R., ou bien a-t-il participé à la lecture virtuelle du scénario cette fois-ci ?
    VERNOFF: Non. George s'appelait Thatcher dans le scénario que nous avons lu le. C'était la même chose. Personne n'a vu les rushes. Je pense qu'il y a des membres du cast qui ne savent toujours pas ce qui se passe. En fait, je pense sincèrement que la plupart des acteurs ne savent pas ce qui se passe. Ellen et moi, on a été vraiment, vraiment, joyeusement secrètes.
    KNIGHT: Et seul mon mari, Patrick, était au courant. Seulement lui. Je vais avoir beaucoup d'amis en colère, mais c'est... ils comprendront.
    VERNOFF: Oui, mes enfants ne sont pas au courant.
    KNIGHT: Vos enfants ne sont pas au courant ? Oh mon dieu.
    VERNOFF: On ne peut pas dire ça à des adolescents. Ils vont vraiment se mettre en colère. Ils sont plutôt doués pour garder des secrets, mais voilà Je veux vraiment dire, concernant T.R. en tant qu'artiste, on entend son talent artistique dans chacune de ses réponses, et la joie que j'ai ressentie en le regardant travailler et jouer à nouveau, a été incroyable. Même en le regardant ce jour-là et en regardant les scènes, quand je travaillais avec les monteurs. Comme la chose que j'ai remarquée, c'est qu'il parle de la danse et des joies de la vie, et ses pieds dansent ; il est assis sur la plage mais il y a cette agitation. Il y a toujours un niveau supérieur, avec T.R., de travail et de pensée, et il y a tellement de joie et d'art qui entrent en jeu. C'était vraiment profond. Je ne pense pas qu'il y ait un meilleur mot.

    Comment est née la blague sur le changement d'apparence de George ? A-t-elle été improvisée ?
    KNIGHT: Ça, c’est Krista.
    VERNOFF: C'était dans le script. Et ce qui est drôle, c'est que je ai écrit ça en supposant que T.R. aurait l'air plus âgé, et comme vous pouvez le voir, ce n’est pas le cas.
    KNIGHT: Oh, ça, c'est des conneries. C'est de la foutaise. J'ai des miroirs, je suis au courant.
    VERNOFF: Je dirais que l'une des raisons pour lesquelles on a eu l'impression que c'était une réplique improvisée, c’est la joie qu'a eue Ellen à travailler à nouveau avec T.R. C'est tellement vivant. L'art qu'ils se sont apporté l'un l'autre, c'était magique.

    En raison de l'état physique de Meredith, elle a passé beaucoup plus de temps sur la plage dans cet épisode et elle a eu plusieurs conversations importantes avec George sur la vie, la mort et ils ont pu se dire à ce qu'ils n’avaient pas pu se dire à cause de la mort soudaine de George. S'agissait-il d'un adieu définitif et approprié pour le personnage de George ou pouvait-il revenir pour d'autres ? Cela a donné un beau rappel de son histoire.
    VERNOFF : J'ai trouvé que c'était beau rappel, et ne jamais dire jamais. Qui sait. Maintenant, il y a de la magie possible.

    T.R., êtes-vous prêt à revisiter le personnage, ou était-ce pour vous, la fin que vous espériez ?
    KNIGHT: C'est la fin que je n'attendais pas et que je n'aurais pas pu espérer, à bien des égards. C'est tellement délicat d'être mis dans une telle situation que, pour être honnête, avec tout le respect que je vous dois, je dirai simplement que dans les mains de Krista je me sens en sécurité, je me sens stimulé. C'est comme quand vous avez parlé de cette réplique qui semblait être de l'improvisation. Je ne vais pas m'en attribuer le mérite. Le mérite revient à Ellen et à Krista parce que quelque chose qui peut ressembler à de l'improvisation, c'est grâce à la façon d’écrite. Et c'est une joie de pouvoir l’interpréter.

    Krista, pouvez-vous dire qui sera le prochain à venir sur la plage ?
    VERNOFF: Eh bien. Vous avez vu que parfois, quand les gens sont dans la chambre de Meredith et qu’ils parlent, ils lui apparaissent sur la plage, donc la plage existe tout au long de la saison et pas seulement avec des invités très spéciaux.

    Avec Meredith qui participe à un essai clinique, est-ce qu'elle passe le cap du COVID ?
    VERNOFF: Que va-t-il se passer ? Que va-t-il se passer ? Je ne sais pas. Il faut que vous regardiez.

    Patrick Dempsey a mentionné dans une interview qu'il apparaîtrait tout au long de la saison. Derek et Meredith vont-ils se rapprocher comme Meredith et George et avoir des conversations plus longues ? Les fans adoreraient que ça arrive.
    VERNOFF: Oui, un jour. Ils finiront par avoir des conversations plus profondes et plus riches, comme Meredith et George l'ont fait. On a travaillé avec Patrick pendant deux jours. On a eu deux jours pour tourner quatre épisodes, et c'est pourquoi vous n'avez pas tout le repas dans un épisode, comme avec T.R. où on a eu une journée entière pour tourner ses scènes dans un épisode, et c'est tout simplement une question de réalités de production et du nombre de jours qu’on a budgétisé pour être sur la plage. Maintenant que les journées sont plus courtes, quand on est sur la plage, on a cinq heures de lumière du jour. Il y a tellement d’éléments qui entrent en ligne de compte. Si vous en voulez plus, regardez. C'est comme si vous aviez goûté un peu avant le dîner et que vous reveniez pour le dessert.
    KNIGHT: Je crois que ça fait de George la soupe.
    VERNOFF: J'avais pensé réserver George pour plus tard dans la saison, mais une fois que j'ai...
    KNIGHT : Oh, j'adore le potage.
    VERNOFF: Une fois que j’ai parlé avec T.R. au téléphone et que les scènes étaient écrites, c'était comme si il fallait que George soit là tout de suite.

    Une question sur l'intrigue de l'épisode. Tom est-il en danger ? Il n'avait pas l'air bien dans la scène finale chez lui.
    VERNOFF: Il n'avait pas l'air bien dans la scène finale. Tom a le COVID et il a des symptômes maintenant. Le COVID est une maladie dangereuse et j'espère que Tom va bien.

    Comment ça se passe en coulisses ? Comment ça se passe de tourner pendant cette extraordinaire vague d'infections à L.A. ?
    VERNOFF: Nos protocoles sont très stricts et rigoureux. En raison du budget important qu’on a dans l'industrie du divertissement, un épidémiologiste m'a dit que l'endroit le plus sûr actuellement, c’est un plateau de tournage à Los Angeles. On fait des tests plusieurs fois par semaine, et on maintient la distance, et on porte des masques et des visières, et je pense que la montée en puissance du virus à Los Angeles incite tout le monde à être encore plus prudent. On s’est arrêté plus longtemps après Thanksgiving. On a fait plus de tests. On prend tout ça très au sérieux, donc je crois que le plus difficile, c’est quand on doit tourner en extérieur. Ce n'est pas vraiment un problème dans Grey's parce qu’on ne fait pas beaucoup de scènes ex extérieur. La plupart de nos décors sont à l'intérieur, ou sur le terrain autour du studio. C’est un peu plus difficile avec Station 19, parce qu’on a plus de figurants et de foule à contrôler. source


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