• Camilla Luddington

    La New York Film Academy s’est entretenu avec Camilla pour en savoir plus sur sa jeune carrière et ce qui l’a amenée à devenir actrice.

    Quel est votre parcours personnel et qu’est-ce qui, dans votre propre histoire, vous a amenée à la comédie ?
    J’ai grandi en Grande-Bretagne et j’ai commencé ma formation à l’Ecole des Arts Dramatiques Italia Conti quand je venais d’avoir onze ans. C’est le film "Le Magicien d’Oz" qui m’a amenée à la comédie. A cinq ans, j’ai été capable de comprendre que Judy Garland était une actrice jouant un personnage et que je voulais faire la même chose. Peut-être que c’était une plus grande extension du "faire croire" que je voulais poursuivre.

    En tant que membre du cast de "Grey’s Anatomy", vous travaillez avec un groupe d’acteurs éclectiques et accomplis. De quelle façon faire partie de cet ensemble vous a aidée à vous développer en tant qu’actrice ? Y a-t-il des acteurs particuliers que vous aimeriez avoir comme patient dans "Grey’s Anatomy" ?
    Chaque membre du cast a une très bonne éthique professionnelle. Ça a été super de les regarder décomposer le matériel et de lui donner vie semaine après semaine. Ils sont aussi tellement encourageants envers les nouveaux membres du cast, ce qui à mon avis peut être rare. Ils vous invitent à "jouer" dans les scènes et ils vous poussent en-dehors de votre zone de confort. Et comme guest star, je suis super fan de "Orange Is the New Black" et d’Uzo Aduba. J’adorerais travailler avec elle.

    Quelle leçon avez-vous apprise en tant qu’étudiante de la New York Film Academy que vous continuez d’appliquer dans votre carrière professionnelle ?
    Avant la New York Film Academy, j’avais seulement travaillé au théâtre. Quand j’étais étudiante, j’ai appris l’intimité qui existe entre la caméra et un acteur. C’est certainement plus un réglage. Et j’ai eu l’impression que j’ai été vraiment poussée par James Price qui nous a enseigné Meisner. Il m’a vraiment appris à comprendre l’importance d’être "brute" avec nos émotions en tant qu’acteur. On se sent vulnérable quand c’est exposé mais il nous poussait à le faire.

    Ayant vécu la plus grande partie de votre vie d’adulte aux Etats-Unis, quel aspect de la culture britannique vous manque le plus ?
    L’humour anglais me manque. Il est différent de l’humour américain. Je comble mon manque en regardant des séries telles que "The Office", "Derek" et "The Inbetweeners".

    Dans le cadre de "Grey’s Anatomy", vous avez pu travailler avec sans doute l’une des personnes qui a le plus de succès à la télévision, Shonda Rhimes. Quelle est la chose la plus importante ou la plus influente que vous ayez apprise en travaillant avec elle ?
    Shonda a une façon de garder son public sur les nerfs encore et encore. Elle produit le genre de séries dont les gens parlent le lendemain devant la fontaine à eau. Elle ne cède pas devant les désirs du public… Et toujours... TOUJOURS, cela donne une storyline encore plus captivante. C'est ce que j'aime chez elle. Elle ouvre simplement la voie aux femmes dans l'industrie de la télévision. Elle montre ce qu’une femme puissante peut être…

    Quand vous avez commencé à jouer la comédie, quel était le rôle dont vous rêviez ? L’avez-vous déjà obtenu et si oui, quel est votre autre rôle idéal ?
    J’aimerais faire un film d’époque. Ou bien un film fantastique, genre "Game of Thrones". Ce que j’ai fait de plus ressemblant à cela, c’est jouer dans "True Blood". Mais je croise les doigts pour avoir plus d’occasions. Source


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