• Episode 2.02 : Enough Is Enough

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    Titre français: Donnant donnant

    Scénariste: James D. Parriott

    Réalisateur: Peter Horton

    Diffusion Etats-Unis: 2 octobre 2005 sur ABC

    Diffusion France: 31 juillet 2006 sur TF1


    Voix off: J'ai une tante qui disait, à chaque fois qu'elle vous versait quelque chose : "dis stop." Ma tante disait, "dis stop," et bien sûr, on ne le disait jamais. On ne dit pas "stop" parce qu'il y a la possibilité d’avoir encore plus. Plus de tequila. Plus d'amour. Plus de tout. Plus, c'est mieux.

     

    Meredith et Cristina sont dans la salle de bain, elles ont trop bu et sont malades. Elles se plaignent des hommes, plus particulièrement de Derek qui a caché qu’il était marié et de la façon dont Burke a rompu avec Cristina. George et Izzie les rejoignent. George aimerait être sûr que Meredith est célibataire.

    Derek guette l’arrivée de Meredith à SGH. Il tente de discuter avec elle mais elle refuse catégoriquement. Il ne comprend pas pourquoi elle persiste à l’ignorer alors que, la veille, il s’est confié à elle. Elle lui rappelle qu’il a mis deux mois avant de lui avouer qu’il était marié. Tout ce qu’elle sait de lui, c’est Addison qui le lui a révélé.

    Dans le hall, Burke avertit le neurochirurgien qu’une de ses interventions est reportée. Derek remet en cause sa façon de gérer l’hôpital. Les filles assistent avec satisfaction à leur prise de bec.

    Des ambulances amènent les victimes d’un accident de voiture. George et Meredith, assistés d’Olivia, se chargent d’un homme qui est en arrêt depuis plus de 20 minutes. Ils essaient de le ranimer, mais très vite George estime que toute tentative est inutile.

    Il y a trois autres victimes, une famille de trois personnes. Le père est pris en charge par Izzie, la mère par Cristina et le fils par Alex.

    Bailey demande à Meredith de s’occuper d’un jeune homme qui souffre d’une occlusion intestinale suite à l’absorption de corps étrangers, vraisemblablement des sachets de drogue. Par ailleurs, elle encourage George à tenter l’impossible pour sauver son blessé.

    Derek examine Richard avant de signer son bon de sortie, lorsque sa femme Adèle arrive. Elle accepte difficilement de ne pas avoir été avertie de l’opération de son mari. Celui-ci réalise que c’est Derek qui l’a prévenue et le lui reproche, ce à quoi le neurochirurgien objecte qu’il a bien prévenu Addison. Celle-ci arrive et salue Adèle qui affirme avoir toujours su qu’elle se réconcilierait avec son mari. Derek insiste sur le fait que tout est terminé entre eux. Adèle leur recommande de consulter un conseiller conjugal. Derek rétorque qu’il y a eu un adultère, c’est suffisant. Blessée, Addison s’en va. Adèle demande au neurochirurgien de lui laisser une chance. Il ne lui répond pas.

    Le jeune homme confie à Alex que l’accident a été provoqué par son père, en état d’ébriété. Au même moment, sa mère donne une autre version à Cristina. Celle-ci constate qu’elle porte des traces suspectes dans le dos, qui sont bien plus anciennes que l’accident.

    George aimerait prononcer le décès de son client mais Bailey veut qu’il continue les examens.

    Meredith cherche à faire avouer à son patient qu’il a ingéré des boulettes de drogue. Il nie.

    Lors de l’examen des radios, Bailey émet l’hypothèse que la patiente de Cristina est une femme battue et que son mari est vraisemblablement un alcoolique. Puis elle confirme à Meredith que son patient avait l’intention de passer de la drogue en fraude. C’est Alex qui attire leur attention sur le fait qu’une des boulettes de drogue a un visage. Bailey comprend alors qu’il s’agit de 10 têtes de poupée.

    Olivia essaie de discuter avec George à propos de ce qui s’est passé avec Alex mais il n’y tient pas. Elle insiste pourtant : quand elle est sortie avec lui, elle a cessé toute relation avec Alex. En ce qui concerne la syphilis, elle ne s’était pas rendu compte qu’elle l’avait. George est mal à l’aise et s’en va précipitamment.

    Alex parle avec son patient du comportement violent de son père. Il fait le rapport avec sa propre expérience d’enfant. Izzie vient les chercher.

    La mère avoue à Burke que son mari boit trop. Cela fait deux ans qu’il attend une greffe de foie. Leur fils est un donneur compatible mais il n’a pas encore pris sa décision. Cristina estime que c’est à lui seul de prendre cette décision. La mère comprend mais elle sait aussi qu’elle ne veut pas perdre son mari. Une fois hors de la chambre, Burke reproche à Cristina d’être intervenue. Elle se justifie par le fait que le patient ne mérite pas de bénéficier d’un nouveau foie. Il lui rappelle qu’elle est chirurgien et non assistante sociale.

    Burke trouve Adèle dans le bureau du chef, elle prend de quoi l’occuper pendant sa convalescence. Elle espère que maintenant il va prendre sa retraite. S’apercevant que cette perspective intéresse Burke, elle lui dit que le job est fait pour lui car il faut être sans attache et entièrement dévoué à la médecine.

    Izzie essaye de convaincre le fils d’être donneur pour son père. Alex lui demande de cesser : le jeune homme doit prendre cette décision seul.

    Addison demande à Meredith si Derek lui a rapporté les raisons de leur séparation. L’interne refuse de répondre, elle n’est pas concernée. De plus, elle ne veut avoir avec elle que des rapports strictement professionnels. Addison insiste pourtant : elle justifie ses actes par le besoin qu’elle avait d’attirer l’attention de Derek. Meredith refuse d’en écouter davantage.

    Les internes se retrouvent à la cafétéria. Meredith reproche à George d’ignorer Olivia. Izzie lui apprend qu’il aime une autre fille. Meredith s’emporte : il ne doit pas laisser croire à Olivia qu’il est disponible et qu’elle a une chance. Il est clair qu’elle décrit sa propre situation. Cristina surenchérit : il doit parler à Olivia pour qu’elle sache à quoi s’en tenir.

    George doit s’occuper d’un patient en mort cérébrale, dont le cœur va être transplanté. Olivia lui fait comprendre qu’elle préfèrerait qu’il soit franc avec elle. Lors des examens, le jeune homme s’aperçoit que son patient n’est pas en mort cérébrale.

    La transplantation du foie devient urgente. La mère veut parler à son fils. Mais Cristina l’en dissuade. Elle estime que l’amour a ses limites.

    Pour éviter qu’un docteur trop zélé ne prélève les organes sur sa patiente, George demande l’aide de Derek. Celui-ci exige des examens complémentaires. Burke les lui accorde.

    Alex raconte sa propre histoire à son jeune patient : sa mère était aussi une femme battue. Izzie leur apprend qu’il faut prendre une décision immédiatement. Le jeune homme accepte d’être donneur pour son père à deux conditions : sa mère doit dire la vérité sur l’accident à la police et elle s’engage à ne plus jamais vivre avec son mari.

    Burke demande à Cristina si elle va bien, elle lui dit que oui, à condition qu’elle puisse aller au bloc.

    Derek constate que la patiente de George a une tumeur opérable au cerveau. Il félicite l’interne d’avoir été vigilant. Il en profite pour lui demander de veiller sur Meredith.

    George se décide à avouer à Olivia qu’il aime quelqu’un d’autre. Ensuite, il va à la rencontre de la famille de la victime de l’accident de la route. Il a compris pourquoi Bailey insistait tellement pour qu’il essaie de le sauver : pour pouvoir dire à la famille que tout a été tenté.

    Addison et Derek se retrouvent dans l’ascenseur. Elle lui demande s’il a tout raconté à Meredith. Il ne répond pas. Elle lui rapporte ce qu’elle-même lui a dit. Derek n’en revient pas qu’elle ose dire avoir couché avec Mark uniquement pour attirer son attention. Elle tente de s’excuser mais il refuse d’en écouter davantage.

    Le patient aux têtes de poupées avoue à Meredith qu’il se sent vide. Elle a le même sentiment que lui.

    Derek et George opèrent la tumeur au cerveau. Meredith les observe depuis la galerie.

     

    Voix off: Il y a quelque chose qu'on dit à propos d'un verre à moitié plein, à propos de savoir quand dire "stop". Je pense que c'est une ligne flottante, un baromètre qui indique le besoin et le désir. C'est entièrement à l'individu de décider. Ça  dépend de ce qui a été versé. Parfois, tout ce que nous voulons, c’est une saveur. D'autres fois, il n'y a rien qui soit suffisant. Le verre est sans fond. Et tout ce que nous voulons, c'est plus.


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