• Patrick Dempsey

    Mercredi, Patrick était l’invité du Jimmy Kimmel Live.

    Vidéo 1

    J.K. : Je ne sais pas comment c’est possible mais vous êtes de plus en plus beau, ou peut-être que c’est de vous voir en personne ou quelque chose comme ça.
    P.D. : Je porte de plus en plus de maquillage au fur et à mesure que les années passent.
    J.K. : Avez-vous joué la comédie ou piloté des voitures aujourd’hui ?
    P.D. : J’ai joué aujourd’hui. J’ai tourné.
    J.K. : Très bien. Et quand vous jouez, est-ce que vous avez envie d’être sur le circuit ?
    P.D. : Oui.
    J.K. : La plupart du temps ?
    P.D. : Non, j’aime Grey’s. C’est amusant à faire mais c’est aussi amusant de faire des courses.
    J.K. : Vous aimez vraiment ça, n’est-ce pas ?
    P.D. : Oh oui, vraiment.
    J.K. : Vous avez des sponsors, vous avez toute l’affaire.
    P.D. : Oui. Je cours sur Porsche dans la catégorie Tudor United Sportscar. Et ensuite, j’ai été en Europe pour courir au Mans, j’ai fait des trucs là-bas, et après la Porsche Super Cup. Et les sponsors, Beautyrest, Porsche Design, Tag…
    J.K. : Beautyrest, les matelas ?
    P.D. : Oui.
    J.K. : C’est quelque chose de bizarre à avoir dans une voiture de course.
    Patrick explose de rire.
    J.K. : Et à ce moment-là, vous pensez, je pourrais l’utiliser un peu pour...
    P.D. : une petite sieste entre les tours. Ils ont été vraiment bien, on a passé de bons moments avec eux.
    J.K. : J’imagine.
    P.D. : La campagne de publicité a été un peu délicate pourtant. Comment vendre un matelas en faisant de la compétition automobile ? C’est une combinaison étrange mais quoiqu’il en soit, ça marche.
    J.K. : C’est la plus étrange des combinaisons. Vous savez, les gens pourraient dormir en conduisant. C’est un mauvais message.
    P.D. : Tout à fait.
    J.K. : Et vous ne voulez pas mettre une voiture sur un matelas. Ça ruinerait un matelas.
    P.D. : Certainement, oui. Et vous ne voulez pas être couché sur un matelas quand vous faites la compagne de publicité non plus.
    J.K. : Non ?
    P.D. :Non, je ne sais pas. C’est un message assez étrange que vous envoyez.
    J.K. : Je suppose mais vous vous êtes couché sur des matelas dans Grey’s Anatomy.
    P.D. : Oui, pas mal.

    Vidéo 2

    J.K. : J’ai une liste des choses que votre personnage a vécues dans Grey’s Anatomy durant les dix saisons. Quand vous avez commencé, est-ce que vous aviez imaginé que la série durerait aussi longtemps ? C’est une longue route.
    P.D. : C’est assez remarquable. Oui, onze ans.
    J.K. : Et la série est toujours très populaire.
    P.D. : Oui. J’en suis très reconnaissant. C’st sympa d’avoir du boulot.
    J.K. : Donc votre personnage a reçu une balle dans la poitrine, tirée par le mari d’une patiente que vous avez débranchée. Vous avez sauvé Meredith de la noyade après un accident de ferry accident. Vous avez découvert qu’une amie proche avait une tumeur au cerveau le jour de votre mariage. Vous avez écrit vos vœux sur un post-it. Vous avez découvert que votre femme avait kidnappé un enfant africain sans vous le dire.
    P.D. : Oui, ça arrive tout le temps.
    J.K. : Nous avez survécu à un accident d’avion.
    P.D. : Oh oui.
    J.K. : Vous avez gagné dix millions de dollars en dédommagement pour l’accident d’avion et vous avez acheté l’hôpital dans lequel vous travaillez.
    P.D. : Pour quinze millions de dollars.
    J.K. : C’est génial.
    P.D. : Quelle bonne affaire !
    J.K. : Vous avez quitté la médecine et vous êtes devenu un livreur de pizza qui couche avec toutes ses clientes qui commandent un supplément d’anchois. C’est l’intrigue de Loverboy, votre film.
    P.D. : Oui, c’est exact.
    J.K. : C’était un bon film. Ce film m’a inspiré pour devenir livreur de pizzas mais rien de tout ça ne m’est jamais arrivé.
    P.D. : C’est drôle, parfois, je… certainement juste après la sortie du film, des gens me disaient, “Oh, j’ai une histoire à vous raconter” et alors, avant même que je reçoive ma pizza ou que je leur donne l’argent, ils me racontaient une longue histoire sur toutes ces femmes qui les approchaient et qui voulaient que quelque chose ait lieu.
    J.K. : Vraiment ?
    P.D. : Oui et les anchois servaient de code.
    J.K. : J’ai livré des pizzas pendant des années. Rien ne s’est jamais passé ! Un jour, un mec m’a donné cinq dollars et j’en ai été vraiment très heureux mais c’est tout.
    P.D. : On me raconte ces histoires de dingue de temps en temps. C’est vraiment drôle. Quand je rentre, ils dissent, “Oh mon dieu. Je dois vous raconter une histoire”.
    J.K. : Oh je parie que vous aimez ça.
    P.D. : Je pense, “donne-moi juste ma pizza s’il te plait". Mais c’est amusant.
    J.K. : J’aimerais vraiment entendre ces histoires. Vraiment. J’aime ce genre de choses. Je veux dire, c’est presque comme vous…
    P.D. : Comme ça s’est passé en fait. Vous pouvez vous moquer de moi.
    J.K. : Ça pourrait avoir donné naissance à tout un genre de pornographie, si vous y pensez.
    P.D. : C’est une bonne chose.
    J.K. : Vous êtes un des pères fondateurs de la pornographie.
    P.D. : Je n’aime pas en parler en public mais c’est quelque chose comme ça.
    J.K. : Et maintenant, vous avez le matelas qui va avec.
    P.D. : Tout cela se tient d’une très belle façon.

    Vidéo 3

    J.K. : Je ne sais pas s’il y a un honneur plus grand que ça, Patrick. Il y a une femme qui poste des photos de vous sur Twitter et Tumblr. Etes-vous au courant ?
    P.D. : Non.
    J.K. : Ce qu’elle fait, elle regarde une photo de vous comme celle-ci et elle fait une version de vous en tricot.
    P.D. : Ah oui, oui. (en passant la main dans ses cheveux) J’aime la légèreté.
    J.K. : Il n’y en a pas qu’une seule de toute façon. Celle-ci… ça donne l’impression que vous avez pris la photo vous-même.
    PD ; Fantastique !
    J.K. : Les cheveux vont un peu dans tous les sens.
    P.D. : J’ai trouvé un avenir après Grey’s Anatomy, dans ma prochaine série.
    J.K. : Voilà une pose sexy. Avez-vous des contacts avec cette femme ? Ou vos avocats ? (Patrick est hilare) Il y en a encore.
    P.D. : Je suis impatient… Et voilà ! C’est drôle.
    J.K. : Là vous êtes vraiment…
    P.D. : Je suis vraiment comme Superman. Je suis prêt à devenir un mini-homme.


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